Honnêtement, les Carnets regroupés ici reflètent hélas la période la plus chaotique de ma vie, et le seul intérêt que je leur vois à ces 178 pages de récit échevelé est de peut-être parvenir à rendre compte du fameux « cirque humanitaire » en contexte post-conflit, avec ses milliers d’expats un peu trop enthousiastes et perpétuellement à la limite du burn-out. J’en étais: récit de l’intérieur.